Le Machu Picchu, cité inca perdue ou retrouvée ?
Nous y sommes, enfin !Bon, c’est vrai, on est loin d’être les seuls et le début de la matinée se fait plutôt en traînant les pieds… On ne voit rien à 50 mètres. On se dit qu’on n’a plus qu’à prévoir un autre séjour au Pérou pour le voir VRAIMENT, ce Machu…
C’est vrai qu’ainsi embrumée, ça lui donne vraiment des allures de cité mystérieuse ! Mais on a l’impression que toutes les pierres se confondent, sans véritable relief. Et c’est pas vraiment l’effet qu’on attendait.
On n’a plus qu’à taquiner le lama…
Ou à scruter de très près les murs des constructions vieilles de 500 ans, réalisés avec de grands blocs de pierre encastrés entre eux à la perfection et sans aucun amalgame.
Voici comment l’UNESCO décrit le site : “À 2 430 m d’altitude, dans un site montagneux d’une extraordinaire beauté, au milieu d’une forêt tropicale, Machu Picchu a probablement été la création urbaine la plus stupéfiante de l’Empire inca à son apogée : murailles, terrasses et rampes gigantesques sculptent les escarpements rocheux dont elles paraissent le prolongement. Le cadre naturel, sur le versant oriental des Andes, fait partie du bassin supérieur de l’Amazone, riche d’une flore et d’une faune très variées.”
Bon alors, évidemment, derrière cette description se cache une autre facette aux attraits moins idylliques… Côté Faune, il y a ce qu’il faut !
Et puis soudain, MIRACLE ! C’est vrai qu’on est en montagne, et que donc, tout change tout le temps et très vite. Le soleil semble vouloir percer à travers ce fichu brouillard. .. On décide alors de grimper encore plus haut et c’est à ce moment que les nuages laissent place à la vue qu’on avait idéalisée depuis longtemps et qui lui vaut d’être connu du monde entier. Le Machu Picchu, c’est quoi d’autre, si ce n’est pas ça ? :
Majestueux…grandiose..ce. Machu Pichu….votre courage a été récompensé !
Merci Maminou !??
Mais ne t’inquiète pas, on peut y aller en bus aussi… Donc aucune excuse !?
Haaaaaaa le machu picchu, les lamaaaaaaaas. Le rêve ?
Oui, c’est ce qu’on se disait aussi, et voilà où ça mène !